Issu du programme culturel, avec le soutien du Conseil départemental du Puy-de-Dôme, du Conseil régional d'Auvergne et du Grand Clermont :
Le rendez-vous musical, festif et gratuit de Vic : le festival « La Comté au clair de lune », édition 2015.
Tous les vendredis du mois de juillet, place de l'Olme, à partir de 21h.
Concerts gratuits.
Au programme cette année :
Vendredi 10 juillet : SABALY + CALLE ALEGRIA
Formé en 2004, Sabaly se dresse comme un pont entre Afrique et France. Ce mariage entre instruments électriques et africains est un mélange réussi de tradition et de modernité pour un groupe qui se veut la représentation d’un monde ouvert et cosmopolite.
Issouf Monkoro, chanteur charismatique du groupe est un vrai chauffeur d’ambiance et sa joie de vivre est communicative.
D’une voix puissante et chaude, il porte des textes écrits en français et en djoula, dialecte du Burkina. S’inspirant du quotidien, ses chansons délivrent avec sincérité et simplicité un message d’amour, de paix et de sagesse.
La musique de Sabaly prend bien ses racines en Afrique, mais curieuse de nature, elle se fraye un chemin de par le monde pour se teinter de rock, de funk et de reggae. Son répertoire rythmé, festif et même parfois explosif, est une envoûtante invitation à la danse.
Entre les différents instruments le dialogue est constant et offre une grande place à l’improvisation et à la magie de l’instant.
Balafon, n’goni, n’tama et autres percussions typiques de l’Afrique portent l’auditeur sur des terres couleur pourpre. En djoula, Sabaly veut dire "la voie du zen" et c’est bien dans cet état d’esprit que les membres du groupe ont décidé de vivre leur musique.
Issouf Mounkoro : chant, guitare, n’goni, kora, percussions
Naguibe Yaya : guitare, choeurs
Loic Butterlin : batterie, percussions, choeurs
Francis Dschoutezo : basse, choeurs
Emprunter la Calle Alegria, c’est battre le pavé de la « rue de la joie » en prenant son temps, en s’imprégnant de l’atmosphère que seule la péninsule ibérique peut offrir. Ici la bonne humeur est de mise, le linge sèche accroché aux fenêtres, les portes cochères se transforment en forums où l’on refait le monde, évoquant un jour l’amour et la liberté, débattant le lendemain de discriminations et d’injustices sociales sans pour autant perdre espoir.
Formé par des artistes ayant l’espagnol pour langue maternelle, le groupe Calle Alegria, concentre cette ambiance typique dans une musique festive, chantée en castillan et en français. Reposant sur des bases rumba et reggae, des éléments empruntés à la pop et au groove lui confèrent un caractère puissant et très actuel.
Lorsque l’on découvre Calle Alegria sur scène, ce qui frappe avant tout, c’est le climat de complicité qui règne entre les 4 musiciens. Heureux d’être sur scène, ils offrent au public de la bonne humeur et des chansons en forme de réquisitoire pour un monde meilleur.
Après 10 années de scènes et festivals, le nouvel album « Hasta Que… » est sorti en novembre 2014.
Ne ratez pas ce groupe sur vos routes !
Vendredi 17 juillet : BUBBLE WOOD + GERAUD BASTAR & LUX BAS-FONDS
Le groupe a été fondé en 2008 par Marcus (basse) et Stevu (batterie).
Djo dit Goldfinger intègre la formation en 2012 et nous invite, grâce à sa guitare et son style, vers le côté fusion et Mörglblesque de la musique.
Iann Loco rejoint le groupe en 2013 et installe des textes, des compos, de la mise en scène.
Edwood La Bulle est né et la Bubble Wood Corp est créée.
La démarche artistique de Bubble Wood est de faire du concert un spectacle vivant au travers duquel une histoire est racontée, une enquête policière pour être plus précis…
Concert avec du chant en français et du funk-rock plein les poches !
Facebook : https://www.facebook.com/bubblewood
Mail : bubblewood@live.fr – stevuu@hotmail.fr
Plusieurs mois après la création sur scène de La Forge, la production de l’album est l’aboutissement de la rencontre artistique et humaine de six musiciens, six artisans de son.
Entre le cabaret et le show électrique, La Forge fait résonner une chanson rock underground et flamboyante, où Géraud Bastar laisse éclater son charisme et sa voix venue des profondeurs. L’ex-leader des Barons du Délire, groupe phare de la scène clermontoise, renoue ainsi avec les fondamentaux du rock'n'roll, entre idéal romantique et aspirations sociales face à tous les renoncements. Inspirée par l’énergie sauvage des Clash ou de Parabellum, les fêlures de Tom Waits ou de Captain Beefheart, La Forge inscrit son univers à l’ombre des hauts fourneaux, tout en interrogeant le politique. Mais cette «Forge» sait également se faire plus intime, quand elle explore le dédale du désir et des relations amoureuses…
Sur les textes de Géraud et de Nadège Prugnard, le groupe Lux Bas-Fonds martèle une transe électrique à coups de riffs ravageurs et de rythmes métalliques : Patrick Lemarchand à la batterie et aux ferrailles ; Frédéric Leclair à la guitare ; Clément Peyronnet à la basse/contrebasse. Un combo rock sur lequel viennent se greffer la vielle à roue : Patrick Bouffard, maître incontesté de cet instrument traditionnel, et l'accordéon : Pierre Mussi, pour un métissage sonore brut et incisif !
Vendredi 24 juillet : HIVER POOL + BARRIO POPULO
Delphine et Martial forment le duo pop-folk « Hiver Pool ».
Artistes confirmés, Hiver Pool, c’est une poésie de notes et de mots qui prend vie sous les doigts avertis de ce duo complice. Les guitares et les percussions de Martial viennent colorer harmonieusement cet équilibre fragile et intense à la fois. La voix émouvante et le clavier de Delphine sont une invitation à la douce rêverie et au voyage dans le temps ; un temps où l’on prend le temps de vivre et d’aimer. Quand les deux voix se mélangent à l’unisson, il se produit un doux cataclysme qui se nourrit de cette complicité et de ce partage sans retenue.
Hiver Pool est né dans une petite église irlandaise à l’automne 2012 et, en deux ans, cette formation a tissé son univers, notes après notes, pour concocter ce petit bijou. Delphine Fargier et Martial Sémonsut offrent un bonheur intense et complet avec cette musique pop-indé-folk qui se nourrit des Seventies, avec un clin d’œil aux mélodies intemporelles qui ont bercé l’enfance des quadra et quinquagénaires.
Elle, c’est Hiver, au chant et au clavier. Lui, c’est Pool, à la guitare et aux chœurs. Le nom de leur groupe ? « Une référence à la ville de Liverpool et aux Beatles », précise Pool. « C’est, aussi un clin d'oeil au groupe Bon Iver que nous aimons beaucoup », ajoute Hiver.
Le duo est très attaché à la nature et à la région. « Nous voulons que nos mélodies soient en relief, comme l’Auvergne, explique Pool. Il ne faut pas que tous les morceaux se ressemblent, sinon on s’ennuie ». Hiver écrit les paroles. « Seul Pool m’inspire, je ne sais pas parler d’autre chose ». Le musicien ajoute : « Nous avons une certaine idée de notre société mais nous ne souhaitons pas de textes engagés, c’est un exercice trop simple ».
Barrio Populo, c'est l'envie de vivre pour la musique et grâce à elle. C'est l'amitié, la jeunesse, les rencontres, les remises en question... C'est le choix de vivre de manière collective et autogérée, d'avancer de manière la plus indépendante possible. C'est un chemin, c'est un désir de rock et de mots.
C'est 350 dates de concert depuis 2009 dans toute la France et à l'étranger ; c'est un 1er disque qui voit le jour en 2012.
Les musiciens de Barrio Populo tentent d'harmoniser une multitude d'envies créatrices. De la chanson-rock, une énergie libératrice, une maturité poétique... Rien chez Barrio Populo ne se cloisonne dans une démarche musicale unique et dans un style fermé. Les pieds sur terre et la tête dans les étoiles, de la poésie pop, des instants de contemplation, des questionnements électriques. Le chant, énervé et fragile à la fois, nous crie ou nous susurre des paroles de révolte d'amour, d'amour de la révolte. Des paroles vivantes qui nous sont jetées comme de violentes caresses à la figure. C'est ça... C'est Barrio Populo.
Vendredi 31 juillet : SAVE THE KING + MOUNTAIN MEN
Save the king, groupe clermontois, est le fruit de la rencontre entre deux chanteurs, auteurs, compositeurs et arrangeurs originaires de Clermont-Ferrand.
Jay est leader, chanteur, guitariste, ses influences musicales sont le blues, le funk, le rock, la world music et la musique classique.
Pierre est chanteur, batteur et guitariste, ses influences musicales sont le jazz rock, la pop, le rock et la world music.
Save The King a sorti un premier EP en septembre dernier.
En six ans, deux albums studio et plus de 500 concerts en France et à travers le monde ; Mountain Men s'est imposé comme un groupe de scène incontournable. Si l'origine de leur rencontre est le blues, Mountain Men a su s'affranchir des étiquettes pour créer une musique universelle où se mélangent blues, rock, folk et pop.
Portés par la voix enivrante de Mr Mat et les envolées de l’harmonica de Barefoot Iano, le groove et l’émotion dominent leur musique. Ces deux personnages charismatiques et décalés nous transportent, entre rires et frissons, énergie festive et ferveur communicative. En concert, lors de festivals aussi prestigieux que Jazz à Vienne, Nancy Jazz Pulsations ou dans des salles mythiques comme l’Olympia, de longues "standing ovations" leurs sont systématiquement réservées.
Avec ce troisième album studio, le duo franco-australien continue de se réinventer. Si avec "Against the wind" Mountain Men ne reste pas figé dans ses certitudes, le fil conducteur est lui toujours le même : l’intensité, les émotions de la vie, l’amour, la colère, les joies, la tristesse, sans retenue, de manière brute, intime...
L’acoustique se mêle cette fois-ci à l’électrique, la lumière côtoie l’obscurité ; 3 chansons en français viennent ajouter une nouvelle couleur à leur musique, si singulière, ainsi que la magnifique reprise de "Georgia On My Mind".
Mountain Men se dévoile encore un peu plus dans cet opus et nous fait entendre ce qu’est "marcher contre le vent".
Prix/Concours:
Sélection France du Challenge International de Blues de Memphis 2008 et 2011 ; nomination aux AWARDS de la Memphis Blues Foundation 2010 (catégorie meilleur album) ; 1er prix Cognac Blues Passion Festival 2009 ; Lauréat du trophée Blues Sur Seine 2006 ; le Chaînon Manquant 2013...